La Venue des esprits
conception & mise en scène Laurent Bazin
Distribution
Avec
Svend Andersen, Audrey Bonnefoy, Elsa Grzeszczak, Fabien Joubert et Chloé Sourbet
Collaboration artistique et univers photographique Svend Andersen
collaboration dramaturgique et assistanat à la mise en scène Magali Chiappone Lucchesi
Lumières Yragaël Gervais avec la complicité d’Alice Versieux
Création sonore Alicya Karsenty
Accessoires Manon Choserot
Scénographie Bérengère Naulot
Costumes Patrick Cavalié
Calendrier
Saison 2014-2015
- 7 – 13 janvier 2015 au Salmanazar – Scène de création et de diffusion d’Epernay pour 5 représentations
- 25 janvier – 3 février 2015 à Mains d’œuvre – Saint-Ouen pour 8 représentations
- 12 avril 2015 au Théâtre Louis Aragon de Tremblay en France pour 1 représentation
Saison 2015-2016
- 21 et 22 septembre 2015 au Festival Fringe de Pékin en Chine
- 23 et 24 septembre 2015 au Festival de Hangzhou en Chine
- le 25 mai 2016 à l’Espace Louis Jouvet de Rethel
Production
Une production des compagnies
Mesden & O’Brother Company
Coproduction Le Salmanazar scène de création et de diffusion d’Epernay
Avec le soutien d’ARCADI Ile de France et la SPEDIDAM
La compagnie Mesden est en résidence au CENTQUATRE-PARIS et à Mains d’Oeuvres Saint-Ouen
La O’Brother Company est en résidence au Salmanazar scène de création et de diffusion d’Epernay et conventionnée par la Région Champagne-Ardenne
crédit photo Svend Andersen
La pièce
Nous sommes en 1873. A Paris, de mystérieuses photographies commencent à circuler sur lesquelles apparaissent les spectres de personnes disparues. Elles sont l’oeuvre d’un photographe médium, Edouard Buguet. Pour les adeptes de l’au-delà, ces photos sont la preuve tangible que les esprits existent. C’est le désaveu scientifique du matérialisme et de l’impiété.
Qu’en est-il réellement ?
Pour évoquer cette histoire, Laurent Bazin propose un spectacle en deux temps. D’une part une fausse conférence didactique et bricolée qui contextualise les faits, d’autre part un récit visuel trouble et fantastique qui raconte l’histoire, vue par la fille du photographe.
Deux manières, l’une diurne, l’autre nocturne d’aborder les phénomènes du deuil et de la foi en l’image.
Le spectacle est conçu avec la complicité de Svend Andersen, photographe professionnel. Il recèle de nombreux effets visuels, empruntés aux techniques photographiques (révélation en direct, double exposition, manipulation de réflecteurs). Il donne ainsi à penser la photographie avec les moyens de la photographie.
Ce spectacle a connu une première étape de travail à la Loge et à Mains d’Oeuvres sous le nom de Préface à la venue des Esprits.